12.Danielou Emile Isidore Maurice; 13.Derrien Georges Joseph Jean; 14.Droal Yves Bertand Isidore; 15.Fiche Louis Pierre; 16.Flegeo François; 17.Gaillard Lucien; 18.Gallo Jean Louis; 19.Gazelli G.B.; 20.Gilles Mathurin Pierre Louis; 21.Gloanec Jean Emile; 22.Guigoures Roger Yves; 23.Guillou Alexandre Joseph; 24.Guillou Lucien Louis Felix;
12. Emile Isidore Maurice DANIELOU
Il est né le 23 novembre 1913 à Bannalec. Ses parents étaient Maurice Danielou et Marie Françoise Guiffant. Il était domicilié à Pont-Ruz Huel à Bannalec.
Il appartenait au 2ème bataillon de marche du Finistère (sous le commandement du capitaine Lavat).
Il fut tué le 24 janvier 1945 (31 ans), avec son camarade de Bannalec Georges Derrien, lors des combats de la Poche de Lorient à Locmaria en Guidel (Morbihan) à la limite du Finistère, sur la ligne de front formée par la Laïta.
Reconnu « Mort pour la France », il a été homologué FFI. Son nom est inscrit sur le monument aux morts de Bannalec.
13. Georges Joseph Jean DERRIEN
Il est né le 12 mars 1921 à Saint-Jacques en Bannalec. Ses parents étaient Alain Yves Derrien et Marie Louise Françoise David.
Domicilié à Stang-Quinquis, à Bannalec, il rejoignit le groupe local des Forces françaises de l’intérieur (FFI), intégré au 2ème Bataillon de marche du Finistère (sous le commandement du capitaine Lavat).
Il fut tué le 24 janvier 1945 (23 ans) lors des combats de la Poche de Lorient à Locmaria en Guidel (Morbihan) à la limite du Finistère, sur la ligne de front formée par la Laïta, avec son camarade de Bannalec Émile Danielou.
Reconnu « Mort pour la France », il a été homologué militaire FFI du 2ème Bataillon de marche. Son nom est gravé sur le monument aux morts de Bannalec.
14. Yves Bertrand Isidore DROAL
Il est né le 1er novembre1916 à Bannalec. Ses parents étaient Yves Jacques Droal et Marie Anne Tallec.
Selon les informations militaires, il était Quartier-maître mécanicien dans le sous-marin « Sfax ».
Au début de la seconde guerre mondiale, le Sfax est affecté à la 2ème Division Sous-Marine (DSM) basée à Brest, avec les sous-marins Casabianca, Achille et Pasteur.
A partir du 3 septembre 1939, il patrouille au large des ports espagnols de la côte nord, où des bâtiments allemands font relâche, suspectés de ravitailler les sous-marins allemands. Pendant l’hiver 1939/1940, il participe à des escortes de convois à partir de Halifax (Nouvelle Ecosse). En avril 1940, basé à Dundee (Écosse), il effectue des patrouilles en mer du Nord.
Le 18 juin 1940, il quitte Brest avec la 2ème DSM pour le Maroc. Il arrive à Casablanca la veille de l’armistice du 22 juin qui stipule que les armées allemande et française ne devront pas s’affronter et se combattre, ce en toute circonstance. Ainsi la flotte française reste disséminée dans des ports du monde entier.
Mais le 19 décembre 1940, le sous-marin Sfax, commandé par le lieutenant de vaisseau Marcel Groix, naviguant en surface, en protection du pétrolier militaire Rhône, accompagné de navires français au large du Cap Juby (Maroc), doit rallier Dakar (Sénégal). C’est alors que le sous-marin allemand U-37 torpille (vers 16h40) le Sfax ainsi que le Rhône. Le « Sfax » coule par 80 mètres de fond en moins de 30 secondes. Le Kapitänleutnant Nicolaï Clausen prétend qu’il a pris le « Rhône » pour le « Kobad » armé par les anglais…
Il y a soixante-cinq victimes parmi lesquelles Yves Droal. Il avait 24 ans.
Il a obtenu la mention « mort pour la France » et son nom est inscrit sur le monument aux morts de Bannalec.
15. Louis Pierre FICHE
Il est né le 12 novembre 1873 à Bannalec. Ses parents étaient Louis Fiche et Marie Jeanne Jaouen. Il s’était marié le 14 novembre1919 à Bannalec avec Marie Jeanne Isabelle Huiban. Ils habitaient à Querrien.
Le 10 juillet 1944, trois membres du Jedburgh « Groupe Francis » furent parachutés aux abords du château de Boblaye à Meslan (56). Il s’agissait du major anglais Ogden Smith, du sergent radio Dallow et du radio Arthur Dallow.
Leurs missions : programmer les parachutages du secteur, organiser la résistance et initier les maquisards au maniement des armes et à la stratégie militaire, avec le concours du groupe de résistants de Quimperlé, dirigé par le capitaine Guy Le Borgne, connu sous l’appellation Lezachmeur.
D’abord dirigé sur le maquis de Rosgrand à Arzano (29), ce groupe, étoffé du sergent Miodon (« Special Air Service ») et du second maître de la marine nationale Le Guyader, partageait ses activités entre Arzano (29) et Guiscriff (56).
Le 28 juillet il est conduit du bois de Rosgrand (Rédéné dans le 29) à Kerbozec en Querrien (29) dans la ferme de Louis Fiche, un agriculteur dont le fils était chef de la Résistance locale. Le 29 juillet en fin d’après-midi, à la suite d’une dénonciation, la ferme fut attaquée par d’importantes forces allemandes. Le major Ogden Smith et le sergent Miodon furent tués à leur poste de combat, le second maître Le Guyader, quoique grièvement blessé, échappa aux recherches.
En revanche, Louis Fiche fut exécuté (70 ans) et sa ferme incendiée. Il a obtenu la mention « Mort pour la France ». Son nom est inscrit sur l’une des deux stèles aux victimes du combat de Kerbozecmais il ne figure pas sur le Monument Aux Morts de Bannalec.
16. François FLEGEO
Il est né le 29 juin1925 à Saint Jacques en Bannalec. Ses parents étaient Pierre Flegeo et Louise Toulgoat
Il décède le 24 mai1945 (19 ans) à l’Hôpital militaire Kerpape à Ploemeur (Morbihan). Les circonstances de sa mort sont inconnues.
A ce jour, il n’y a pas d’information connue le concernant pour l’obtention de la mention « Mort pour la France ». Il est inscrit sur le monument aux morts de Bannalec.
17. Lucien GAILLARD
Il est né le 20 janvier 1907 à Clichy (Seine). Ses parents étaient Paul Célestin Gaillard et Yvonne Lucie Camus. Il était chauffeur quand il s’est marié avec Hélène Jeanne Marie Gorin le 10 janvier 1944 à Bannalec. Ils étaient domiciliés rue de Rosporden.
Lucien Gaillard, membre des FFI, est tué au combat le 15 août 1944 (à 37 ans) sur le chemin de grande communication n° 23 au sud de Rostrenen (anciennes Côtes du Nord). Il a obtenu la mention « Mort pour la France ». Son nom est inscrit sur le Monument Aux Morts de Bannalec.
18. Jean Louis GALLO
Il était né le 7 janvier 1907 au Trévoux. Ses parents étaient Jean Louis Gallo et Josèphe Carer. Cultivateur, il s’était marié avec Marie Louise Renée Françoise Sinquin, cultivatrice, le 18 février 1930 à Bannalec. Ils étaient domiciliés à Keros en Bannalec
Il a été soldat au 211ème régiment régional. Fait prisonnier, il a été déporté dans le camp de concentration de Birkhahn-Mötzlich, une annexe de Buchenwald, situé à Halle sur Saale en Allemagne. Ce camp comprenait des détenus polonais, tchèques, soviétiques, français, néerlandais qui furent victimes de travaux forcés dans les usines Siebel Flugzeugwerke, où l’on assemblait des avions de combat. C’est dans ce sinistre lieu que Jean Louis Gallo meurt le 30 janvier 1941à l’âge de 35 ans.
Il a obtenu la mention « Mort pour la France ». Son nom est inscrit sur le Monument Aux Morts de Bannalec.
19. G.B. GAZZELLI
Né le 18 février 1922 à Prelà, province d’Imperia en Italie, G.B. Gazzelli était un ancien sergent artificier de la IVème Armée italienne d’occupation en France. Il était en garnison à Toulon dans le Var.
Le 8 septembre 1943, le gouvernement Badoglio, en place depuis la chute de Mussolini, concluait un armistice avec les puissances anglo-américaines, mettant ainsi fin à l’alliance de l’Italie avec l’Allemagne. Les soldats italiens en France deviennent alors prisonniers des Allemands.
G.B. Gazzelli, avec d’autres soldats, ont été convoyés par un train à bestiaux du Var en Bretagne. Ils arrivèrent à Bannalec en Octobre/Novembre 1943 et furent logés dans l’école communale de garçons. Plusieurs d’entre eux, dont G.B. Gazzelli, s’évadèrent, prirent le maquis et s’engagèrent dans le groupe de Résistance de Bannalec.
Après la libération de Bannalec, le 7 août 1944, des opérations de déminage commencèrent au dépôt de munitions de Kerlagadic. C’est au cours de l’une d’entre elles que G.B. Gazzelli fut grièvement blessé par l’éclatement d’une grenade qu’il était en train de désamorcer. Il décèdera de ses blessures à l’hôpital de Quimperlé le 27 septembre 1944 à 22 ans.
Il fut inhumé au cimetière de Bannalec. Puis par suite de l’accord intervenu entre les Gouvernements français et italiens, il sera exhumé le 12 mai 1961 pour être transféré au Cimetière National de Saint-Mandrier (Var).
Son nom n’est pas inscrit sur le monument aux morts de Bannalec.
19. septembre 1939. C’était un régiment hippomobile. Pendant la « drôle de guerre », il a été successivement dans le secteur Fortifié de Thionville en Moselle et dans la région de Liart, vers Charleville-Mézières dans les Ardennes. Le 10 mai 940, le régiment est dirigé sur la frontière belge aux environs de Givet. Du 12 au 14 mai, les combats font rage entre les unités allemandes et les unités françaises. Le 14 mai, Givet tombe aux mains des Allemands. Du 14 au 18 mai, les armées françaises reculent puis sont encerclées avant d’être en grande partie détruites dans les secteurs de Hirson, Fourmies, Mondrepuis et La Capelle. De nombreux soldats sont capturés parmi lesquels Mathurin Pierre Louis Gilles.
Il meurt en captivité, à l’âge de 37 ans, le 27 juin 1940, dans le camp d’internement de Hohenstein (Olsztynek) en Pologne où 650 000 officiers et soldats belges, italiens, serbes, soviétiques et français auraient été détenus. Des conditions difficiles, la malnutrition, les mauvais traitements et les épidémies de typhoïde, ont conduit à de nombreux morts parmi les prisonniers. Au total, 55 000 d’entre eux ont été enterrés dans 500 charniers situés dans le cimetière de Sudwa.
Mathurin Pierre Louis Gilles, lui, a été inhumé dans le cimetière militaire de Gdansk, tombe 596.
Il a obtenu la mention « Mort pour la France, son nom figure sur le Monument aux Morts de Bannalec.
21. Jean Emile GLOANEC
Il est né le 4 juillet 1917 au Trévoux. Ses parents étaient Yves Gloanec et Marie Jeanne Kervagoret. Il était domicilié à Bannalec.
Il était soldat au 57ème régiment d’infanterie. En 1939, durant la Seconde Guerre Mondiale, ce régiment gagne l’Est de la France. Il se sacrifie en juin 1940 à Voncq dans les Ardennes où les 1ère et 2ème compagnies de son 1er bataillon sont décimées par six mille soldats allemands, un rapport de forces intenable même pour les plus courageux des Français.
Jean Emile Gloanec décède au sanatorium du département du Rhône à Saint-Hilaire-du-Touvet le 31 août 1941. Il avait 24 ans.
Il a obtenu la mention « Mort pour la France », son nom est inscrit sur le Monument Aux Morts de Bannalec.
22. Roger Yves GUIGOURES
Il est né le 19 février 1921 à Bannalec. Ses parents étaient Mathurin Guigourès et Marie Louise Guillou.
Selon les informations militaires, il était Marsouin au 2ème Régiment d’Infanterie Coloniale.
Le 2ème Régiment d’Infanterie Coloniale prend une part active à la campagne de France de 1940. Celle-ci est la succession des opérations militaires des Allemands contre les troupes franco-belgo-britanniques du 10 au 28 mai 1940, puis contre les troupes françaises seules jusqu’au 20 juin 1940.
- Le 10 mai 1940, les Allemands attaquent la Belgique et les Pays-Bas, deux pays qui s’étaient pourtant déclarés neutres au moment du déclenchement du conflit. Les Pays-Bas capitulent après cinq jours de combat. Les Belges retardent la percée allemande en Ardenne pendant deux jours.
- Les Allemands sont à pied d’œuvre devant Sedan le 12 mai. Le 13 mai, l’armée allemande attaque à Sedan et rapidement perce les lignes françaises constituées de troupes de réserve, moins aguerries. Puis l’armée allemande fait mouvement vers le nord-ouest pour couper les arrières des troupes franco- belgo-anglaises. Celles-ci reculent précipitamment pour obéir aux ordres du commandant en chef français, le général Gamelin, qui a reçu le commandement des forces alliées. Le but est de tenter de reformer un front continu.
- Le 20 mai les Allemands atteignent Abbeville sur la Somme. Le général Weygand qui remplace Gamelin comme généralissime ne parvient pas à éviter l’encerclement.
- Le 20 mai, la bataille d’Amiens commence. Les Allemands occupent la ville. Du 25 mai au 4 juin, les Français vont procéder à des tirs sporadiques. Malgré leur infériorité numérique et matérielle, les Français vont résister à l’assaut ennemi déclenché le 5 juin. Dans les jours suivants, la bataille fait rage. Le 9 juin, les Allemands sont contraints à arrêter l’offensive dans ce secteur. Pour eux, le bilan est très lourd. Ils ont perdu 235 chars et 27 200 soldats, tués ou blessés. Quant aux Français, leur victoire leur coûte aussi de lourdes pertes. La 16ème division a perdu 70% de ses effectifs, la 24ème environ 40%. Ce succès sera pourtant de courte durée car les Français encerclés devront faire retraite plus au sud pour se dégager.
Coupés en deux par la violente percée allemande dans les Ardennes, les Franco-Belgo-Britanniques sont repoussés vers Dunkerque où ceux qui ne parviennent pas à s’embarquer pour l’Angleterre sont faits prisonniers. En juin, l’armée allemande pourchasse vers le sud les débris désordonnés de l’armée française. Les civils de la France du Nord et de Belgique, épouvantés, fuient et tentent de passer au sud de la Loire. Le gouvernement français replié à Bordeaux et présidé par le maréchal Pétain à partir du 17 juin, demande l’armistice. Le 22 l’armistice est signé à Compiègne, la France qui est vaincue, va être en partie désarmée et occupée par les Allemands.
C’est très vraisemblablement au cours de la bataille d’Amiens dans laquelle son régiment était engagé que Roger Yves Guigoures a trouvé la mort le 26 mai 1940 à 19 ans.
Il a obtenu la mention « Mort pour la France ». Il est inscrit sur le monument aux morts de Bannalec.
23. Alexandre, Joseph GUILLOU
Alexandre Guillou est né le 13 novembre 1898 au lieu-dit Livinot à Bannalec. Ses parents étaient Yves Guillou et Marie Salaün, tous deux cultivateurs. Il avait quatre frères et sœurs.
Il s’est marié à Boissy Saint Léger (94) le 09 janvier 1926 avec Virginie Colombani.
Il a travaillé comme électricien-mécanicien à la société des Transports de la Région Parisienne (TCRP). Il était aussi un militant communiste très actif et fût élu conseiller municipal communiste en 1935, à Bonneuil sur Marne, puis délégué titulaire aux élections sénatoriales en 1938.
Le 9 février 1940, sur décision du Conseil de préfecture, il perd son mandat électif, tout comme sept autres élus de Bonneuil, en vertu de la loi du 21 janvier 1940 adoptée à l’unanimité par la Chambre des Députés et qui prononçait la déchéance des mandats électifs des communistes.
Alexandre Guillou est arrêté le 5 octobre 1940 par la police française dans le cadre de la grande rafle organisée, avec l’accord de l’occupant nazi, par le gouvernement de Pétain et qui visait les principaux responsables communistes d’avant-guerre de la Seine (élus, cadres du Parti et de la CGT).
Il est interné le 6 octobre 1940, avec tous les communistes arrêtés, au camp d’Aincourt, en Seine-et-Oise. Le 11 février 1942, il est transféré d’Aincourt au camp allemand de Royallieu à Compiègne. Le 6 juillet 1942, il est déporté à Auschwitz par le convoi des « 45000 » (dénommé ainsi par les déportés qui avaient été enregistrés entre les numéros « 45157 » et « 46326 »). Il y meurt assassiné le 4 novembre 1942 à 44 ans.
Une rue de Bonneuil porte le nom d’Alexandre Guillou qui est également inscrit sur le monument aux morts de cette ville. Il n’est pas inscrit sur le Monument Aux Morts de Bannalec.
24. Lucien Louis Félix GUILLOU
Il est né le 28 novembre 1910 à Bannalec. Ses parents étaient Louis Guillou et Marie Ciclay. Il était cultivateur et s’est marié à Moëlan-Sur-Mer le 25 janvier 1937 avec Marie Jeanne Marguerite Françoise Nervic.
Selon les informations militaires, il appartenait au 337ème Régiment d’Infanterie.
Il meurt en captivité dans le camp de prisonniers de Mühlberg-an-der-Elbe en Allemagne le 31 janvier 1941 (30 ans) des suites de maladie.
Le stalag IVB était un camp de prisonniers de guerre, construit en 1939, situé à 5 km au nord-est de Muehlberg-sur-Elbe, dans les environs de la gare de Neuburxdorf.
Au début il y avait des prisonniers de guerre polonais, puis en 1940 le camp a détenu des prisonniers belges, français, serbes, britanniques, du Commonwealth et hollandais.
En 1941 sont arrivés des prisonniers soviétiques, en 1943 des Italiens, en 1944 des Américains (7500 après la bataille des Ardennes), des Polonais (après l’insurrection de Varsovie en août/septembre) et, en 1945,1 500 policiers danois opposants à l’occupation allemande.
Le camp avait une capacité de 16 000 personnes. Les prisonniers de guerre travaillaient dans le stalag, à l’extérieur ou restaient dans les baraques. Les soldats soviétiques étaient les plus mal traités.
Le 1er janvier 1945 il y avait 25 052 prisonniers.
Environ trois mille soldats y sont morts, principalement de la tuberculose et du typhus.
Dans la nuit du 23 avril 1945, les gardiens se sont enfuis à l’approche de l’Armée Rouge.
Lucien Louis Félix Guillou a été inhumé dans la Nécropole nationale Le Pétant à Montauville en Meurthe-et-Moselle, Carré 39/45 B, tombe 191.
Il a obtenu la mention « Mort pour la France ». Il est inscrit « Guilloux » sur le relevé du mémorial aux victimes du Stalag IV-B. Son nom n’est pas gravé sur le monument aux morts de Bannalec.